Lever ses freins Prendre son envol.
Si vous avez besoin de libérer votre énergie et votre créativité, mieux assumer vos responsabilités professionnelles, je vous propose ici trois solutions que vous pouvez choisir en fonction de vos besoins.
- Une psychothérapie
- Une thérapie courte. Deux ans maximum.
- Une thérapie brève ou coaching de vie, sous la forme d’un pack de cinq à huit séances, dont le contenu est détaillé à la fin de cet article.
Ces propositions s’adressent à toute femme, tout homme, qui désire assumer ses responsabilités professionnelles et personnelles avec aisance , détermination et efficacité, en levant ses freins et en repoussant ses limites
Voici deux états possibles d’êtres humains :
Inhibition et Frustration / Confiance en soi et Joie de vivre.
Mon travail consiste à vous aider à passer de l’un à l’autre.
...Un jour dans un port, depuis le pont d’un bateau, j’observais une mouette adulte sur le toit en pente d’un bâtiment. Elle stimulait une jeune mouette à prendre son envol…du coaching en quelque sorte.
Se libérer de ses inhibitions, c’est comme prendre son envol.
Aujourd’hui, prendre son envol, malgré les messages angoissants que nous envoie l’actualité, cela nécessite d’associer ces trois qualités:
- Être enraciné: savoir qui on est, d’où l’on vient, ce que l’on veut.
- Avoir une vision à long terme de son avenir.
- Devenir déterminé dans l’action, pour y réussir…
…pour prendre toute votre place dans la famille et dans vos responsabilités professionnelles.
Je vous propose pour commencer des séquences de cinq à huit séances pour construire, ou consolider, vos appuis personnels, devenir plus déterminé et plus efficace.
Prenez votre envol
Vous aussi vous pouvez sortir de vos limites, si elle vous empêche de vous épanouir et de profiter pleinement de la vie, pour passer à l’action déterminée.
Sur cette page vous allez découvrir les origines les plus fréquentes de la timidité et de l’inhibition, associées naturellement au manque de confiance ou d’estime de soi, et les moyens pour en sortir.
1 Qu’est-ce que l’inhibition ?
L’inhibition c’est se retenir. Selon l’étymologie c’est se cacher. C’est éviter le risque et être sûr(e) ainsi de ne pas échouer. Mais on est sûr(e) alors de ne pas réussir. Cela s’accompagne souvent d’une sensibilité trop grande à l’égard du jugement d’autrui.
Voici des exemples d’actions, dans un contexte personnel ou professionnel que l’on entreprend plus sûrement, quand on se libère de ses freins :
- Prendre la parole en public,
- Affirmer un point de vue différent. Ou opposé.
- Être ambitieux(se). Assumer pleinement ses responsabilités professionnelles.
- Aller à la rencontre d’une femme, d’un homme.
- Être en mouvement.
- Traverser une crise de couple.
Voici ce que vous aller y gagner :
- Prendre confiance en soi
- Développer votre autorité.
- Vous projetez dans l’avenir
- Vous engager dans l’action avec justesse et détermination.
- Réussir ce que vous entreprenez.
Le point commun à ces comportements, c’est qu’on se distingue, on s’affirme , et on agit, on prend un risque, celui d’échouer, mais aussi celui de réussir.
La condition c’est la construction de soi, la confiance, et la détermination dans l’action.
Voici pourquoi au fond, on s’en empêche :
L’être humain, de sa naissance à l’âge adulte, doit passer de l’état de fusion, à celui d’un être séparé, dans lequel on se sent libre d’agir, d’entrer en relation, de jouir de la vie, sans culpabilité. Et d’apporter sa contribution au devenir de l’humanité.
Beaucoup de femmes et d’hommes ne sont pas allés au bout de ce processus.
A cause de la difficulté qu’ont eu des parents, ou ceux qui en tiennent lieu, d’accepter la séparation. Car ils n’étaient pas eux-mêmes séparés. Inconsciemment ils ont retenu leurs enfants. L’enfant devenu(e) adulte se sent coupable lorsqu’il prend des initiatives.
Ils ont besoin d’achever ce processus, pour se libérer de leurs freins
Et à cause de la perspective de notre fin ultime, la mort. Elle a un effet inhibiteur, qu’il est nécessaire de conscientiser, car elle agit sur notre motivation à un niveau inconscient. Un sujet curieusement peu abordé dans la littérature « psy », et qu’il est pourtant essentiel d’affronter pour se libérer de ses freins.
Dans les cinq actions, que j’ai citées ci-dessus, pourtant banales, on met en jeu son être profond. Cela nécessite 1 d’être enraciné et connecté à ses profondeurs. 2 d’avoir une vision, un projet, qui nous porte.
C’est l’objet de mon accompagnement personnel.
2 Il existe d’autres manières d’être inhibé(e). En voici deux :
On n’y va mais on n’obtient pas ce qu’on recherche.
Parce qu’inconsciemment on n’y croit pas, ou on croit qu’on n’y a pas droit : en même temps qu’on agit, on manque de détermination, ou bien encore on est mal inscrit dans la réalité : nos actions ne sont pas pertinentes.
On a intégré des messages implicites ou explicites des parents, le plus souvent celui du même sexe : tu n’y arriveras pas, tu n’es pas capable, tu n’as pas le droit de réussir car tu n’as pas le droit de me dépasser, d’être meilleur(e) que moi.
Ou encore on a souffert des rivalités dans la fratrie : un frère, une sœur, qui s’est imposé(e) comme dominant(e), ou qui a été privilégié(e).
On agit de manière désordonnée.
Car on est retenu(e) par l’angoisse de réussir. L’angoisse, ou l’anxiété, est un état qui nous fait perdre le contact avec la réalité.
L’inhibition est une difficulté qui ne vient jamais seule. Elle est le plus souvent associée à d’autres maux.
3 Voici trois maux souvent associés à l’inhibition
L’anxiété ou l’angoisse.
Le rapport entre l’angoisse, ou l’anxiété, et l’inhibition est double : on se retient d’agir, de s’exprimer, de réussir car ce serait se séparer, exister et du même coup se confronter à la perspective de notre fin ultime. Mais d’un autre côté, éviter d’agir et de s’exprimer c’est aussi facteur d’angoisse, car alors l’énergie qu’un être humain produit se retourne contre lui-même.
L’angoisse et l’anxiété, ainsi que l’inhibition sont accentuées par l’actualité mondiale. Cela impacte notre action dans le présent, et les perspectives d’avenir que nous projetons. En parler permet d’atténuer l’angoisse, mais aussi réfléchir à son avenir dans ce contexte, et aux décisions à prendre pour se protéger.
L’angoisse ou l’anxiété peut-être la cause d’une addiction : addiction à des drogues, au tabac, addiction aux jeux, à l’écran, au smartphone, à des médicaments… Certains médicaments sont efficaces contre l’angoisse, mais ils évitent d’affronter les problèmes dont elle est l’expression.
La procrastination
C’est une forme d’inhibition, car la procrastination c’est l’évitement de la décision. Décider, c’est s’engager, et c’est aussi choisir une voie et renoncer aux autres. On peut avoir besoin d’un coup de pouce pour passer à l’action. Parfois une seule séance y suffit.
Les troubles de la sexualité.
L’inhibition agit différemment sur la sexualité pour une femme et pour un homme. Mais dans les deux cas c’est en rendant impossible le rapport sexuel, ou en se débrouillant pour le gâcher, par peur de la jouissance et de la perte de contrôle qu’elle représente, par crainte de la relation profonde qu’elle peut impliquer. Les troubles de la sexualité sont un révélateur car l’acte d’amour nous engage en profondeur.
Et maintenant la proactivité, c’est quoi ? C’est agir et avancer librement avec confiance et réalisme. Réalisme : prendre en compte la dimension temps, prendre en compte le contexte dans lequel on agit.
4 Passer de l’inhibition à l’action déterminée.
Le véritable remède à l’inhibition, et à l’anxiété, pour passer à l’action déterminée, c’est l’enracinement personnel.
Si vous vous sentez limité ou retenu, et si vous souhaitez vivre pleinement, être déterminé dans l’action, un travail sur soi est indispensable :
- Travailler et assumer son identité.
- S’enraciner dans sa généalogie, son peuple, son ethnie (parfois plusieurs), sa nation, sa religion ou spiritualité.
- Se donner une direction, un projet, une motivation, qui correspond à son désir profond.
- Passer du mental à l’émotion et à l’action.
- Introduire dans sa vie les changements qui correspondent à son désir vrai.
5 Comment mon accompagnement vous aidera-t-il…
…à vous libérer de vos autolimitations, à vous affirmer comme un être unique, créatif, et indépendant.
…à assumer vos responsabilités personnelles et professionnelles de manière fluide, avec confiance et réussite.
Voici cinq types d’expériences qui constitueront le quotidien de notre travail.
1 On parle de soi devant un interlocuteur attentif et inconditionnellement bienveillant. On s’ouvre à l’autre et on intègre l’altérité. On développe ainsi la connaissance de soi, et l’estime de soi. On s’affirme.
2 On analyse les émotions et les réactions aux situations vécues, on met au jour les erreurs de communication et de comportement. La relation d’accompagnement est en elle-même un apprentissage relationnel.
3 On travaille la présence corporelle, y compris dans les séances à distance, et la stabilité émotionnelle. L’état de présence corporelle est indispensable, pour s’exprimer et agir avec justesse.
4 On enquête sur sa généalogie, pour s’enraciner et découvrir parfois des événements familiaux qui impactent dans le présent notre état émotionnel.
5 On laisse venir son vrai désir, dont on fait son projet de vie, et on met en jeu ses valeurs pour être en accord avec soi-même et devenir plus déterminé.
J’intègre la méditation dans les séances, et je pratique des séances en marchant côte à côte en extérieur, en cas de proximité géographique, pour dynamiser le processus.
Cependant les séances à distance ont aussi ces avantages : l’écran et la distance facilitent le dévoilement de soi, l’épreuve incontournable de tout travail de fond. En même temps nos visages sont plus proches, et la relation plus directe.
6 Je suis coach de vie avec certaines spécificités.
Compétence.
Expérience.
Exigence.
Je mets à votre service ces quatre compétences.
Le Coaching :
C’est l’accompagnement au changement. Lever les obstacles qui nous empêchent de réussir, cela nécessite des changements dans sa vie. C’est l’objet du coaching. Je vous accompagne dans les changements dont vous avez besoin. J’y ai été formé à Mozaik International Paris, qui est affilié à l’ICF International Coaching Federation.
Le Développement personnel.
Le développement personnel met au premier plan les émotions, qui, entre esprit et corps, longtemps, n’ont pas eu leur place dans la représentation du fonctionnement humain : on les considérait comme nuisibles. Le développement personnel les réhabilite et en fait le facteur principal de la justesse de nos choix de vie, de notre capacité à prendre des décisions, et de notre confiance en soi. Vous pouvez apprendre à gérer vos émotions: il existe des techniques pour cela, mais l’essentiel est la construction de soi, l’enracinement, et la place que l’on prend dans son milieu de vie.
J’y ai été formé à l’association Existence (Ardèche).
L’analyse transactionnelle
Elle permet de repérer nos positionnements inadéquats dans la relation, en particulier dans la relation de couple, mais aussi dans les relations professionnelles : on traque par exemple les situations dans lesquelles l’un des deux prend la position enfant, et, du coup, l’autre prend la position parent. Une source très fréquente de frustrations et de mésententes.
La Psychanalyse :
C’est le socle de la plupart des thérapies psy. La formation à la psychanalyse est particulièrement nécessaire pour savoir mettre en relation des paroles, des comportements relationnels avec des pensées, des pulsions inconscientes, qui perturbent la vie par des décisions inadaptées, ou bien inhibent le désir et l’action.
J’y ai été formé à l’Association Lacanienne Internationale à Paris.
Cette pluralité des approches permet de mieux saisir la complexité de chaque personne, et pour aider à la prise conscience de ce qui vous retient, vous limite, ou vous fait rater, afin de pouvoir le changer.
Je suis membre de la Fédération Européenne de Psychanalyse et École Psychanalytique (FEDEPSY).
7 Je propose en fonction de vos besoins :
1 Une psychothérapie ou une psychanalyse…
...Si vous avez déjà pratiqué une thérapie brève ou courte, et que votre difficulté n’a pas été résolue. Il s’agit d’une démarche au long cours, dont la durée est indéterminée. Je propose cependant de fixer, à un certain moment, une limite de temps. Elle a un pouvoir d’accélération.
2 Une thérapie courte.
La durée d’une thérapie courte est d’un an à deux ans. Selon un rythme d’une à deux séances par semaine, ou encore trois séances sur deux semaines, ce qui évite la routine. Cette solution est adaptée aux personnes déjà installées dans leur vie, en général ayant passé le cap des quarante ans. Là encore il peut être stimulant de fixer une date de fin.
Voici l’expérience de S. B., un homme de 42 ans.
« Je viens de terminer une série de séances particulièrement profitables avec Eliezer, qui a su, par son écoute patiente et bienveillante et la relation de confiance que nous avons construite, m’aider à passer des caps importants dans ma vie, sur le plan professionnel et personnel. J’ai pu aborder avec lui les aspects les plus profonds comme les plus pratiques, travailler sur l’amélioration de mes relations avec mon épouse et mes enfants, mon rapport à la hiérarchie, la discipline de vie et la conception d’une ligne directrice qui me soutient. Je lui en suis très reconnaissant. »
Et voici l’avis de D. V. , une femme de 27 ans en arrêt depuis un an après la fin de ses études:
« Depuis un an, ayant fini mes études avec trois masters, j’étais à l’arrêt, incapable d’envoyer des CV , et de me mettre sur Linkedin. J’ai contacté Eliezer qui m’a proposé dix séances. Dés la 1ère séance je me suis mis en recherche, et à la fin des dix séances j’ai trouvé un emploi qui me convenait. Je remercie Eliezer pour son travail qui m’a permis de lever mes obstacles personnels à mon premier emploi.»
3 Pour commencer un pack de cinq à huit séances :
Formuler son projet de vie. Instaurer une discipline de vie. Devenir déterminé dans l’action.
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